Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi, de 8h30 à 18h30.
Chaussée de Wavre, 154 A - 1050 Ixelles
02/512.13.14
Dans les magasins, en rue, dans nos boîtes aux lettres, sur Internet, tout nous incite à consommer, surtout à cette période de fin d’année.
Les cartes de crédit semblent utiles pour faire face à des dépenses parfois imprévues. Elles sont séduisantes et faciles à obtenir. Mais elles risquent de nous coûter cher…
Organisée par vingt associations francophones et néerlandophones, la Journée sans crédit a pour objectifs de sensibiliser les consommateurs aux dangers du crédit facile et de formuler des recommandations aux pouvoirs publics pour améliorer la protection des consommateurs les plus fragilisés.
Voici le programme de la journée "Emploi et VIH" organisée le mardi 8 décembre à l’Observatoire du sida et des sexualités.
L’inscription à cette journée est obligatoire et gratuite. Pour cela, vous pouvez remplir le bulletin ci-dessous et l’envoyer à : berckmoes@fusl.ac.be
BULLETIN D’INSCRIPTION A renvoyer avant le 1er décembre 2009 Par courrier ou par fax : 02/211.79.51.
NOM : ……………………………………………….. Prénom : ……………………………………..
Profession / fonction / société : ……………………………………….……………………………...
Adresse : rue / av. ………………………………………………… n° ………………………………
Code postal : ……………………………………. Ville : ……………………………………………..
Tél. : …………………………… Fax : ………………….. E-mail : …………………………………..
Comme chaque année, la Free Clinic organise différentes activités dans le cadre de la journée mondiale de lutte contre le SIDA.
Nous vous invitons à participer à la projection du film "PAPY" le 18 novembre 2009 à 19h30 (accueil à 19h) dans la salle d’attente de la Free Clinic.
"Papy" est un film réalisé au Congo. Il retrace le parcours d’un homme marié, père de deux enfants, qui apprend sa séropositivité et de la difficulté pour lui et pour son entourage à accepeter ce diagnostic.
Le film sera suivi d’un débat sur l’acceptation du SIDA tant par la personne séropositive que par son entourage. Plusieurs personnes ressources seront présentent pour animer celui-ci.
LES RECLUSES de Koffi Kwahulé.
Mise en scène de Denis Mpunga.
Du 12 au 21 novembre 2009 à 20h30. Le mercredi à 19h30. Grand Varia.
Les recluses sont des femmes victimes de violences sexuelles qui se réunissent clandestinement pour témoigner et se soigner par le théâtre.Le groupe est animé par un étrange et invisible personnage qu’elles nomment « celui qui est parti, qui n’est jamais arrivé et qui est revenu ».
Kaniosha, la plus jeune d’entre elles, doit quitter le groupe. Elle va se marier et craint que son futur mari découvre sa « souillure » et remette en question le mariage. Son voisin, un juge récemment revenu de l’étranger, découvre son secret qu’il promet de taire contre des relations intimes…
Spectacle en Kirundi surtitré en français et en néerlandais.
Vos droits sociaux, économiques ou culturels sont bafoués ? Peut-être plus pour longtemps ! La Belgique vient de signer un protocole qui consacre votre droit de vous adresser à l’ONU pour vous plaindre. Nouveau « machin » éthéré, sans incidence réelle sur la vie des damnés de la terre, ou institution appelée à faire reculer concrètement l’exploitation et le déni des droits les plus élémentaires – y compris dans les pays riches ? L’avenir le dira…
Les droits économiques, sociaux et culturels font partie importante des droits humains. Ils font l’objet du Pacte international pour les droits économiques, sociaux et culturels (P.I.D.E.S.C.) dont la Belgique vient, le 24 septembre 2009, de signer le protocole additionnel facultatif, aux côtés de 19 autres Etats. Ce protocole est une annexe au pacte, que les Etats signataires du pacte peuvent ou non signer. Dans un [communiqué récent, la Ligue des droits de l’Homme salue cette signature belge : ce protocole instaure en effet un mécanisme de recours international pour les personnes dont les droits économiques, sociaux et culturels ont été violés.
Adopté par l’Assemblée générale des Nations unies le 16 décembre 1966, le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels demande en effet aux Etats de reconnaître les droits suivants : droit au travail et à des conditions de travail justes et favorables, droit de former un syndicat, droit à la sécurité sociale, à un niveau de vie suffisant, à la santé, droit à l’éducation, droit de participer à la vie culturelle…
Tous les droits humains également importants
Le Protocole facultatif au PIDESC permettra aux victimes de la pauvreté ou de discriminations économiques et sociales de demander justice au niveau international.
Que contient ce protocole ? Il rappelle en ses considérants que « la Déclaration universelle des droits de l’homme et les Pactes internationaux relatifs aux droits de l’homme2 reconnaissent que l’idéal de l’être humain libre, libéré de la crainte et de la misère, ne peut être réalisé que si sont créées les conditions permettant à chacun de jouir de ses droits civils, culturels, économiques, politiques et sociaux » . Il réaffirme aussi « que tous les droits de l’homme et libertés fondamentales sont universels, indissociables, interdépendants et intimement liés ».
Surtout, il donne au Comité des droits économiques, sociaux et culturels du Haut commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme la mission de recevoir et examiner des plaintes (pudiquement appelées « communications » dans le texte) (art. 1er du protocole). Celles-ci peuvent être « présentées par des particuliers ou groupes de particuliers » qui s’estiment victimes d’une violation d’un de ces droits par l’Etat dont ils relèvent (si cet Etat est signataire du pacte et de son protocole) (art. 2 du protocole). Une plainte doit être présentée dans les douze mois suivant l’épuisement de tous les recours prévus par la législation nationale (art. 3, § 2, a). S’il l’a considérée comme recevable, le Comité examine la plainte au fond. Il peut alors intervenir comme médiateur entre le(s) plaignant(s) et l’Etat incriminé (règlement amiable et bons offices prévus à l’art. 7, §1er du protocole), ou bien lui transmettre ses constatations et recommandations. Il peut aussi lui demander d’expliciter sa position et d’indiquer quelle suite il aura réservée à ses recommandations (art. 9, § 3). Le cas échéant, une procédure d’enquête peut être déclenchée, le cas échéant avec visite sur le territoire de l’Etat concerné. Celui-ci devra y coopérer pleinement (art. 11 du protocole). Dans des cas exceptionnels, le Comité peut suggérer à l’Etat soupçonné de violation de prendre des mesures urgentes et provisoires pour éviter un préjudice irréparable aux victimes (art. 5, § 1er, du protocole).
Avec ce protocole, souligne la Ligue des droits de l’Homme, est lancé un message clair sur la valeur et l’importance égales de tous les droits humains, y compris les droits économiques, sociaux et culturels : tous doivent être protégés et mis en oeuvre, complètement et sans exception.
Comme la Ligue le fait observer, il reste maintenant au Parlement belge à ratifier la signature de ce protocole additionnel pour le rendre effectif en Belgique.
Respectons mieux les droits sociaux au quotidien
Il est également urgent d’améliorer la lutte contre la pauvreté dans l’action quotidienne des pouvoirs publics.
Cela implique non seulement la sauvegarde, mais surtout le renforcement de la Sécurité sociale et de son financement par l’Etat belge.
Cela implique également l’instauration de mécanismes de contrôle interne et externe plus efficaces de l’action d’institutions comme les centres publics d’action sociale ou FEDASIL (agence fédérale pour l’accueil des demandeurs d’asile).
La « crise » financière les met sous pression par le haut (ils vont devoir se serrer la ceinture pour contribuer à l’effort national de « redressement ») et par le bas (les demandes d’aide sociale sont en hausse constante et spectaculaire depuis quelques mois).
Les pratiques anti-déontologiques, voire illégales, de certains CPAS et de FEDASIL restent trop souvent sans suite aujourd’hui (tendance à attendre une condamnation par les juridictions du travail pour assumer sa mission alors que certaines demandes sont urgentes, refus d’aide médicale à des personnes en séjour illégal, action sociale a minima en dépit de besoins criants de familles en détresse, décisions arbitraires, erreurs administratives, demandeurs d’asile renvoyés de FEDASIL au CPAS et vice-versa, harcèlement...).
Pour éviter qu’elles deviennent de plus en plus fréquentes, il faut augmenter - et non réduire - le soutien fédéral à ces institutions.
Si de telles conditions sont enfin remplies, peut-être que demain, ça ira mieux en Belgique pour les victimes de violations des droits économiques, sociaux et culturels…
Vincent DECROLY,
coordinateur du service d’aide juridique "Infor-Droits" de la Free Clinic
Post-scriptum
La Ligue des droits de l’Homme a édité un « Manuel de l’utilisateur du PIDESC ». Conçu pour tous les citoyens soucieux d’en savoir plus sur le contenu et les applications au quotidien de ce pacte international, il s’adresse également aux professionnels du travail social à la recherche d’outils et de repères en matière de droits économiques et sociaux. C’est donc à la fois un outil de travail pour les militants et un document de référence pour les praticiens de l’art d’aider.
Bonjour à tous !
Pour tous les motivés pour le marathon du 29 novembre, sachez qu’il y a moyen de télécharger des feuilles de dons recto/verso sur : http://www.facebook.com/l/cb2ec;www.swimforlife.be
(NB : on peut demander à se faire parrainer sans pour autant participer au marathon...!)
C’est maintenant qu’il faut commencer à récolter un maximum de dons (en cash ou par virement).
N"hésitez pas à mobiliser un maximum de personnes ;)
Essayez aussi de récolter des dons auprès d’entreprises !
Et pour ceux qui hésitent encore, jetez-vous à l’eau et rejoignez-nous pour la bonne cause !!!
A très bientôt !
– Les personnes vivant avec le VIH donneront leur message au Groupe d’Ambassadeurs Africains des ACP et leurs invités.
De 15 H 00 à 17 H 30 a la Maison des ACP - 451 av. Georges Henri - 1040 Bruxelles
– Programme des Nocturnes séropos
— Débat sur les thèmes de la "prévention " et de l’importance du "dépistage"
Où ? à L’Horloge du Sud - 141 rue du Trône - 1050 Bruxelles - Tel 02 512 18 64
A partir de 18h00, accueil autour d’un verre.
— Débat sur le thème de la Journée Mondiale 2009 : "Accès universel aux traitements"
Où ? au restaurant Inzia - 37 rue de la paix - 1050 Bruxelles - Tel : 02 513 81 67 - Monique : 0497 50 14 45
— Quelques pas de danse sous le signe du "droit à la vie des personnes vivant avec le VIH" prolongeront la soirée jusqu’à l’aube
Où ? au 144 av. louise - 1050 Bruxelles
"Le sida s’apprivoise, se fleurit, se nourrit, se dance... tous ensemble !! (amis, collègues...)"
A l’initiative des associations :
Comme chaque année, la Free Clinic organise différentes activités dans le cadre de la journée mondiale de lutte contre le SIDA.
Nous vous invitons à participer à la projection du film "PAPY" le 18 novembre 2009 à 19h30 (accueil à 19h) dans la salle d’attente de la Free Clinic.
"Papy" est un film réalisé au Congo. Il retrace le parcours d’un homme marié, père de deux enfants, qui apprend sa séropositivité et de la difficulté pour lui et pour son entourage à accepeter ce diagnostic.
Le film sera suivi d’un débat sur l’acceptation du SIDA tant par la personne séropositive que par son entourage. Plusieurs personnes ressources seront présentent pour animer celui-ci.
Vous êtes illégal en Belgique ?
Vous souhaitez régulariser votre situation ?
La Free Clinic vous propose, depuis le 1er octobre 2009, des permanences « régularisation » dans le cadre des permanences « Droit des étrangers ».
Lors de ces permanences, un conseiller vous accueillera et verra avec vous si vous remplissez les critères de régularisation fixés par le gouvernement belge le 19 juillet 2009. Cet entretien de premier conseil et d’orientation vers un avocat spécialisé en droit des étrangers, partenaire de la Free Clinic, durera 40 minutes. Il vous coûtera 15 euros.
Dans certains cas, il vous sera également possible d’introduire une demande de régularisation auprès de l’Office des étrangers avec l’aide de notre service juridique. Pour ce faire, une participation aux frais de dossier de 60 euros vous sera demandée. Toutefois, les sommes indiquées peuvent être réduites si votre situation financière le justifie.
Attention : si certains critères sont valables de manière permanente, d’autres ne seront pris en compte par l’Office des étrangers que sur une période déterminée allant du 15/09/2009 au 15/12/2009.
Les critères temporairement pris en compte par l’Office des étrangers sont essentiellement basés sur un ancrage local durable (affectif, social et économique), un contrat de travail auprès d’un employeur déterminé, le passé professionnel et la volonté de travailler et le connaissance d’une des langues nationales.
Liens utiles :
– La page « régularisation » du site de l’Association pour le droit des étrangers
Médecin assassiné aux USA
La Free Clinic interpelle le Président OBAMA
Dans un courrier adressé au Président Barack OBAMA, les travailleurs de la Free Clinic s’inquiètent de l’assassinat, survenu aux Etats-Unis le 31 mai 2009, du Docteur George Richard TILLER.
Agé alors de 67 ans, ce médecin dirigeait les Women’s Health Care Services. Dans son hôpital de Wichita, la plus grande ville du Kansas, se pratiquent des interventions volontaires de grossesse. Il a été abattu par un extrémiste anti-avortement alors qu’il assistait avec son épouse à un office religieux. En 1993 déjà, il avait été touché par balles lors d’une opération menée par des activistes du même acabit. Malheureusement, l’attentat du 31 mai lui a coûté la vie.
Dans leur lettre, les médecins, psychologues, assistants sociaux, juristes et autres travailleurs de la Free Clinic s’inquiètent de la dérive extrémiste haineuse qui a cours aux Etats-Unis. Les médecins qui y pratiquent l’avortement sont décrits sur certains sites comme des tueurs en série. Ils ne font pourtant qu’appliquer des lois démocratiquement adoptées.
Les travailleurs de la Free Clinic rappellent que la légalisation de l’avortement votée dans un nombre croissant de pays a significativement réduit le nombre d’avortements clandestins dans le monde – et les risques qu’ils comportent, même si 60 000 femmes meurent encore chaque année des suites d’interventions clandestines ou de complications y liées.
La lettre se conclut par un appel à Monsieur OBAMA, pour qu’il mette fin aux incitations publiques à la violence (et même, sur certains sites, au meurtre) contre les médecins qui pratiquent l’avortement aux Etats-Unis. Ils rappellent que protéger l’intégrité physique des médecins, c’est aussi protéger celle des patientes qui leur font confiance et qui ont droit au respect de leur choix.
Tel : 02 512 13 14 - info@freeclinic.be
Atelier tous les premiers jeudis du mois. Plus d'infos ici.
Venez danser avec nous pour la journée internationale des droits des femmes, le 8 mars 2025 !